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Violences sexistes et sexuelles (VSS) et prise de parole

IMPORTANT

Concernant les VSS :

Les participant·es s’engagent, dans tous les lieux du congrès et dans les évènements annexes, à ne pas tenir de propos ou commettre d’actes relevant de violences à caractère sexiste et sexuel. Les participant·es, en tant que victimes ou en tant que témoins, sont encouragé·es à signaler les cas de violences sexistes et sexuelles aux organisateur·rices du congrès :

 

Concernant la parole :

Favoriser des sessions plus égalitaires et inclusives au Congrès annuel de l’AFEP

L’objectif de ces pratiques ci-dessous est de favoriser une prise de conscience des inégalités de répartition de la parole dans nos congrès, et d’y remédier. Dans chaque session :

L’objectif de ces pratiques ci-dessous est de favoriser une prise de conscience des inégalités de répartition de la parole dans nos congrès, et d’y remédier.

Dans chaque session :

- La présidence de session (nommée dans le programme) veille au respect du timing imparti et le rappelle aux participant·es. Elle donne la parole et veille à ce que les personnes traditionnellement dominées (femmes, jeunes, racisé·es) demandent et obtiennent la parole (éventuellement en leur donnant la priorité). Enfin, elle veille à ce que la parole ne soit pas interrompue, ni monopolisée.

- L’anthropologue de la parole (une personne volontaire dans chaque session) observe qui prend la parole, qui la coupe, qui la monopolise, qui la reformule ou la soutient. Il ou elle utilise la grille ci-dessous, et en rend compte en fin de session sous forme de statistiques anonymes.

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